21 mars 2009 Carnaval à Barjac !
Grand ciel bleu, soleil et léger Mistral pour cette journée de Carnaval à Barjac.
Tous les nombreux participants petits et grands s’étaient réunis sur l’esplanade, ce samedi après-midi pour le départ du Carnaval.
Musique, confettis, pétarades, clowns et majorettes ont animé cette joyeuse manifestation.
Les Origines Etymologie : le mot Carnaval vient d’Italie mais a conservé son étymologie latine : « carnis levare », c’est à dire « enlever, ôter la viande, la chair ».
Comme tant d’autres fêtes, c’est une récupération par le christianisme de très anciens cultes dont les Lupercales romaines et les Saturnales :
Chaque année le 15 février, les Luperques, vêtus seulement des peaux des boucs sacrifiés, couraient à travers la ville en frappant avec des lanières de peaux de boucs tous ceux qu’ils rencontraient notamment les femmes. Celles-ci ne cherchaient pas à se soustraire aux coups, parce qu’elles croyaient que cela favorisait la grossesse. Ces Lupercales, assurant le départ d’une nouvelle année, symbolisaient l’intrusion du monde sauvage dans le monde civilisé, celle du désordre dans la vie réglée, celle du monde des morts dans celui des vivants.
Les Saturnales : elles avaient lieu aux alentours du solstice d’hiver, et selon les époques, ont duré un, trois, cinq ou sept jours. On organisait de joyeux banquets, où le maître de maison allait jusqu’à servir ses esclaves à table, on mangeait en général un cochon de lait, on suspendait des figurines au seuil des maisons ou aux chapelles des carrefours. Un roi de fantaisie élu par le sort était le maître des réjouissances pendant ces journées où l’on prenait parfois de grandes libertés… Aux Sigillaires, à la fin des Saturnales, on s’offrait des figurines d’argile, des chandelles de cire et des gâteaux. Ces figurines remplacent sans doute de très anciens sacrifices humains pratiqué par les Pélasges, un des peuples les plus anciennement installés dans le Latium ; ce serait Hercule qui aurait persuadé les descendants des Pélasges de remplacer les humains par des statuettes reproduisant des traits humains et en honorant les autels de Saturne non par l'immolation des hommes mais par des lampes allumées.
Comme tant d’autres fêtes, c’est une récupération par le christianisme de très anciens cultes dont les Lupercales romaines et les Saturnales :
Chaque année le 15 février, les Luperques, vêtus seulement des peaux des boucs sacrifiés, couraient à travers la ville en frappant avec des lanières de peaux de boucs tous ceux qu’ils rencontraient notamment les femmes. Celles-ci ne cherchaient pas à se soustraire aux coups, parce qu’elles croyaient que cela favorisait la grossesse. Ces Lupercales, assurant le départ d’une nouvelle année, symbolisaient l’intrusion du monde sauvage dans le monde civilisé, celle du désordre dans la vie réglée, celle du monde des morts dans celui des vivants.
Les Saturnales : elles avaient lieu aux alentours du solstice d’hiver, et selon les époques, ont duré un, trois, cinq ou sept jours. On organisait de joyeux banquets, où le maître de maison allait jusqu’à servir ses esclaves à table, on mangeait en général un cochon de lait, on suspendait des figurines au seuil des maisons ou aux chapelles des carrefours. Un roi de fantaisie élu par le sort était le maître des réjouissances pendant ces journées où l’on prenait parfois de grandes libertés… Aux Sigillaires, à la fin des Saturnales, on s’offrait des figurines d’argile, des chandelles de cire et des gâteaux. Ces figurines remplacent sans doute de très anciens sacrifices humains pratiqué par les Pélasges, un des peuples les plus anciennement installés dans le Latium ; ce serait Hercule qui aurait persuadé les descendants des Pélasges de remplacer les humains par des statuettes reproduisant des traits humains et en honorant les autels de Saturne non par l'immolation des hommes mais par des lampes allumées.
Commentaires
Et bien après avoir consulté cette page , je me coucherai un peu moins "bête" ce soir ,car j'ai appris certaines choses sur l'origine du Carnaval.
Merci
Daniel PErez