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Bienvenue sur mon blog, vous y trouverez des articles relatifs à la vie de notre merveilleux village et de ses habitants, à l'activité de la Mairie mais aussi des billets d'humeur, d'humour, un peu de poésie et de culture.
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Commentaires
Mon cher Edouard, j'ai beaucoup pensé à vous depuis que j'ai appris la nouvelle. La chanson française perd un TRES GRAND MONSIEUR, mais heureusement, il nous laisse des heures et des heures de merveilleuses chansons.
Sa disparition m'a beaucoup attristé, comme énormément de gens d'aprés ce que j'ai pu voir à la télé.
Cette année, à la brocante, je ne vous poserai pas la question habituelle : "viendra-t-il ?".Mais nous aurons l'occasion de l'écouter sur mon stand car je suis en train de me faire un CD de ses plus grands succés.
Amitiés musicales de l'Isère,et encore MERCI JEAN.
Serge SIBUT
Permets moi de te rendre ce modeste hommage ici:
perezdanielvictor.net
J'aurais tant aimé les chanter avec toi ...
A bientôt
Daniel
perezdaniel victor.fr
Ne m'en veux pas ...
Muriel de Barjac
Et de Nogent jusqu’à la mer, les nomades se sont arrêtés
Pleurant la petite fleur qui tombe
Et n’écoutant que tes chansons
A l’aube de ce printemps, de quoi rêvais tu ?
D’un jour futur camarade, de deux enfants au soleil
Ou dans la nuit et le brouillard
D’une cavale, sur la voie lactée ?
Restera t-il un chant d’oiseau, dans le petit jardin ?
Autant d’amour ,autant de fleurs ?
Les lilas , à l’ombre bleu du figuier ?
L’embellie de ces instants volés ?
Au point du jour, l’amour est cerise
Et les noctambules de la fête aux copains
Pensent aux belles étrangères, sous le châtaignier
Et rentrent en groupe, en ligne, en procession …
Instrumental
Tu aurais pu vivre encore un peu
Et au bout de ton âge, nous donner toujours et encore
L’adresse du bonheur ou chanter encore une fois
La berceuse pour le petit loupiot.
J’entends, j’entends dans le silence de la ville
Un air de liberté, la complainte de Pablo
L’alleluia, le cri de Maria et ton chant qui est un ruisseau .
Et lorsque s’en viendra le soir, que serai je sans toi
Un grillon , à l’abri des tournesols
Qui ne chante plus , que pour passer le temps .
Pensée émue pour son épouse.