PAIN DE LUTTE
Depuis hier ils sont licenciés de l'entreprise "Les délices de Barjac"ex "Panif" ex" Gardèchoise."15 emplois pour Barjac c'est énorme.La perte de clients est donnée pour la cause de cette sévère fermeture. Toutefois dans un trac distribué sur le marché ce vendredi les salariés dénoncent l'incurie voire la malhonnêteté des deux dernières gestions.Avec leur directrice Madame Lefrançois , le soutien de la municipalité et celui de nombreux amis ils ne se résignent pas. Ils veulent récupérer leurs machines et démontrer que leurs produits sont bons et utiles. Ce matin ,dès 6 h ils façonnent ,cuisent et viennent vendre sur le marché. La population leur a réservé un accueil chaleureux malgré la pluie.
Les instances ont été saisies :sous préfet et redressement productif, chambre de commerce d'Ales,syndic Marc André ,gendarmerie...La mise en sécurité des bâtiments frigorifiques est en place.
Dès cet après midi le nouveau député M . Verdier est venu en mairie. Une table ronde est prévue rapidement. J'ai évoqué des précédents qui avaient permis de sortir les emplois et les immeubles du gouffre. Aujourd'hui ces savoirs faire et cet immeuble sont encore une richesse.Notre société doit savoir réparer et ne plus jeter. Pourquoi ne pas rénover un existant de valeur,le louer en crédit bail à un porteur de projet qui n'aurait qu'un loyer modique à verser remboursant un emprunt diminué d'aides?
ça s'est fait pour la SA Unic, Codel delna, la gardèchoise de charcuterie.Cela m'a valu quelques cheveux gris mais des emplois avaient été gagnés mais les Barjacois savent que leur développement n'est pas venu sans peine dans un milieu rural rude et peu compris ,que l'on voue un peu trop facilement au tout tourisme.
Les instances ont été saisies :sous préfet et redressement productif, chambre de commerce d'Ales,syndic Marc André ,gendarmerie...La mise en sécurité des bâtiments frigorifiques est en place.
Dès cet après midi le nouveau député M . Verdier est venu en mairie. Une table ronde est prévue rapidement. J'ai évoqué des précédents qui avaient permis de sortir les emplois et les immeubles du gouffre. Aujourd'hui ces savoirs faire et cet immeuble sont encore une richesse.Notre société doit savoir réparer et ne plus jeter. Pourquoi ne pas rénover un existant de valeur,le louer en crédit bail à un porteur de projet qui n'aurait qu'un loyer modique à verser remboursant un emprunt diminué d'aides?
ça s'est fait pour la SA Unic, Codel delna, la gardèchoise de charcuterie.Cela m'a valu quelques cheveux gris mais des emplois avaient été gagnés mais les Barjacois savent que leur développement n'est pas venu sans peine dans un milieu rural rude et peu compris ,que l'on voue un peu trop facilement au tout tourisme.
Commentaires
Pourquoi ne pas envisager de faire aussi du pain bio ?
Puisque c'est la vocation de notre village ..........
Style gâteaux aux grains de lavande ou pain d'épices avec du miel d'ici ...........
Voilà qui ferait rentrer des sous dans la caisse !