Marie Monique Robin, " La fabrique des pandémies"




Salle archi comble pour voir le dernier  film de MMRobin, qui est venue voilà dix ans pour débattre de son film "Le monde selon Monsanto"

Maintenant, c'est la perte énorme de la bio- diversité animale et végétale qui selon des démonstration de scientifiques explique la vulnérabilité humaine aux multiples virus. 

Un débat profond a été tenu plus d'une heure sur ces graves questions avec un public très sensible heureux de cette rencontre avec la courageuse et clairvoyante journaliste d'investigation. 

Article Midi libre

 Ce mardi 30 août, à 20 h 30, la salle de cinéma Jean-Louis Trintignant
se remplissait rapidement de spectateurs intéressés par le film
réalisé par Marie-Monique Robin: La Fabrique des Pandémies. Film qui
fait suite au livre éponyme. Marie-Monique est journaliste
d'investigation, récompensée par le prix Albert Londres en 1995, le
prix norvégien Rachel Carson en 2009, et la Légion d'honneur en 2013.
Preuve que les sujets abordés par Marie-Monique, déplacent des foules,
la veille, à Lagorce 150 personnes assistaient à la projection mais
par manque de place 150 autres n'y avaient pas accès. Monsanto, le
Rondup, le sida, l'agriculture, la déforestation, la "mal bouffe",
l'inertie des politiques etc, sont ses sujets de bataille et il y a
urgence; Quelques questions étaient posées à la fin de la projection,
et la soirée "prise de conscience" pour beaucoup, se terminait aux
alentours de 23 h.

Commentaires

Anonyme a dit…
En apportant enfin une vision d’ensemble, accessible à tous, Marie-Monique Robin contribue à dissiper le grand aveuglement collectif qui empêchait d’agir. Le constat est sans appel : la destruction des écosystèmes par la déforestation, l’urbanisation, l’agriculture industrielle et la globalisation économique menace directement la santé planétaire.
Cette destruction est à l’origine des « zoonoses », transmises par des animaux aux humains : d’Ébola à la covid-19, elles font partie des « nouvelles maladies émergentes » qui se multiplient.
Mais agirons-nous, et en est-il encore temps ?