Hommage à un ouvrier devenu ministre , n'oubliant pas le Peuple d'où il vient

 Sylvain  Divol et l'ouvrier ferronnier Thomas Robert installent les enseignes. De la belle ouvrage. 

 Le président du club de "La belle ép oque", M. Jean Pierre Agnel, pour sa part, vient de réaliser en briques et ciment un parvi nécessaire à la sécurité d'un escalier. Bénévolement. Comme quoi un retraité continue à être utile et qu'il existe déjà au sein même de cette société des gens qui agissent sans que l'argent ne les pousse !  De la graine d'Ambroise Croizat. Merci. 


L'ouvrier ferronnier Thomas Robert

 

Ambroise Croizat est ouvrier métallurgiste et cégétiste. Il explique que 

« la retraite ne doit plus être l’antichambre de la mort, mais une nouvelle étape de la vie »15. Ambroise Croizat fut élu député communiste de Paris durant le Front populaire ; il y forgea les grands « conquis » de mai, comme les congés payés mais aussi la semaine de 40 heures et la loi sur les conventions collectives dont il est l'un des fondateurs. Arrêté en 1939, il se retrouve en Algérie en 1943 et y est libéré en février à la suite du débarquement allié en Afrique du Nord. À la tête d’une commission réunissant des parlementaires et des médecins, Ambroise Croizat travaille dès l’été 1943 à ce qui va devenir la Sécurité sociale. Au titre de la CGT, à partir de novembre 1943, il siège à l'Assemblée consultative provisoire, et de 1945 à 1946 c'est en tant que ministre du travail qu'il met en place le projet, avec l'aide du ministre de la santé, François Billoux et de Pierre Laroque16. (Wikipédia)
A nous de porter plus loin les "conquis " sociaux tel est le message du conseil municipal avec cette enseigne symbolique.
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