Economie rurale
La signature de la convention définissant des financements
Au "regard vert"
Dans l'entreprise " Cévennes -étiquettes des frères Quirantès
Le Fond d'Intervention des Services de l'Artisanat et du Commerce ,le FISAC , va pouvoir s'appliquer suite à la signature par les autorités de l'Etat, avec le sous-préfet Olivier Delcayrou, le président de Cèze- Cévennes Olivier Martin ,le vice- président de la chambre de Commerce du Gard Jean Pierre de Faria .
Un aréopage constitué des maires de Rivières, Tharaux, Allègre, Potelière, Barjac et de la Vice-présidente du conseil départemental Cathy Chaulet-Ville , de représentants de la maison du commerce de St Ambroix et d'entreprises touristiques telle la Cocalière applaudissait à cette initiative. Les signatures dégagent un fond pouvant dynamiser commerce et artisanat, aider aux transmissions ,aménagements ,signalétiques, mobilier urbain commercial etc...
J'ai marqué avec reconnaissance l'attention portée enfin vers une zone d'activité menée avec prudence et audace depuis longtemps . Elle constitue encore, malgré l’arrêt de 3 entreprises ayant fait leur temps, un gisement d'emplois précieux à la campagne. Certaines ont constitué un risque pour le budget communal car les banques ,frileuses ne pr^tent que si leur argent est garanti par la collectivité. Le risque de ne pas percevoir le loyer remboursant la dette n'existait que pour la commune, pas pour la banque toujours garantie par l’impôt. Aujourd'hui les taxes d'entreprises vont à la communauté . L'intérêt à agir n'est plus aussi vif même si le risque est devenu collectif. Quelques retours d'expérience devraient être médités
Il est à remarquer le fiasco de zones d'activité menées à l'échelon intercommunal, le seul devenu pertinent selon les lois supracommunales rappelées par le sous-préfet .Créées avec force argent public elles restent désertes ou s'achèvent en lotissements et braderies foncières. Les emplois fantasmés sont vite oubliés par ceux qui avaient décidé des fanfaronnades électorales.
Barjac a toujours su coopérer :eau, déchets, forêt, électricité, tourisme, école et vivre en bon voisinage sans gruger quiconque. Aujourd'hui sa singularité enrichit quelque peu un collectif hélas bien en difficulté économique.
Les visiteurs se sont rendus chez une valeureuse commerçante,"le regard vert"qui propose des produits bio, un ferronnier, un menuisier, un fabriquant de yourtes, installés ,avec "Gamm vert" et le gymnase de Magalie dans l'ancienne usine "Shakers"
Après une visite de la renaissante usine d'étiquette un petit déjeuner réchauffa l'assistance. Des idées sur de nouvelles avancées de la zone ont été mises sur la table avec le sourire de l'optimisme.
Au "regard vert"
Dans l'entreprise " Cévennes -étiquettes des frères Quirantès
Le Fond d'Intervention des Services de l'Artisanat et du Commerce ,le FISAC , va pouvoir s'appliquer suite à la signature par les autorités de l'Etat, avec le sous-préfet Olivier Delcayrou, le président de Cèze- Cévennes Olivier Martin ,le vice- président de la chambre de Commerce du Gard Jean Pierre de Faria .
Un aréopage constitué des maires de Rivières, Tharaux, Allègre, Potelière, Barjac et de la Vice-présidente du conseil départemental Cathy Chaulet-Ville , de représentants de la maison du commerce de St Ambroix et d'entreprises touristiques telle la Cocalière applaudissait à cette initiative. Les signatures dégagent un fond pouvant dynamiser commerce et artisanat, aider aux transmissions ,aménagements ,signalétiques, mobilier urbain commercial etc...
J'ai marqué avec reconnaissance l'attention portée enfin vers une zone d'activité menée avec prudence et audace depuis longtemps . Elle constitue encore, malgré l’arrêt de 3 entreprises ayant fait leur temps, un gisement d'emplois précieux à la campagne. Certaines ont constitué un risque pour le budget communal car les banques ,frileuses ne pr^tent que si leur argent est garanti par la collectivité. Le risque de ne pas percevoir le loyer remboursant la dette n'existait que pour la commune, pas pour la banque toujours garantie par l’impôt. Aujourd'hui les taxes d'entreprises vont à la communauté . L'intérêt à agir n'est plus aussi vif même si le risque est devenu collectif. Quelques retours d'expérience devraient être médités
Il est à remarquer le fiasco de zones d'activité menées à l'échelon intercommunal, le seul devenu pertinent selon les lois supracommunales rappelées par le sous-préfet .Créées avec force argent public elles restent désertes ou s'achèvent en lotissements et braderies foncières. Les emplois fantasmés sont vite oubliés par ceux qui avaient décidé des fanfaronnades électorales.
Barjac a toujours su coopérer :eau, déchets, forêt, électricité, tourisme, école et vivre en bon voisinage sans gruger quiconque. Aujourd'hui sa singularité enrichit quelque peu un collectif hélas bien en difficulté économique.
Les visiteurs se sont rendus chez une valeureuse commerçante,"le regard vert"qui propose des produits bio, un ferronnier, un menuisier, un fabriquant de yourtes, installés ,avec "Gamm vert" et le gymnase de Magalie dans l'ancienne usine "Shakers"
Après une visite de la renaissante usine d'étiquette un petit déjeuner réchauffa l'assistance. Des idées sur de nouvelles avancées de la zone ont été mises sur la table avec le sourire de l'optimisme.
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